dda306 a écrit :Bah ... la notoriété a un prix
... et des frais de fonctionnement
A partir d'un certain stade, cela devient difficile de ne pouvoir compter que sur le bénévolat...
En cherchant bien, j'ai quand même trouvé quelque chose qui est gratuit à la SRSH : l'établissement et l'envoi des titres de champion. A l'UCHL, c'est 20 EUR pour introduire le dossier...
Je n'ai pas inclus le prix de la micropuce, car ce moyen d'identification, non spécifique à la SRSH, est désormais admis par celle-ci puisque l'identification est maintenant obligatoire pour tous les chiens, chats et furets (mais n'est pas encore respectée par tout le monde, tout comme l'interdiction de la coupe de la queue et/ou des oreilles, parfois même avec la complicité du vétérinaire !). Il n'est donc plus obligatoire de faire tatouer les chiots, quoique l'on puisse toujours obtenir un passeport sur base de ce seul moyen d'identification (jusqu'en 2012 ?).
Pour revenir sur le fait que la SRSH maintienne les contrôles, même si il ne s'agit que de vérifier les micropuces des chiots, le fait est que le rôle du vétérinaire n'est pas d'effectuer un contrôle pour le compte d'une association, mais se limite à identifier les chiots, qu'ils soient de race ou non, que l'éleveur soit affilié ou pas. Si il n'y avait pas de contrôle, rien n'empêcherait un éleveur peu scrupuleux d'ajouter des chiots à une portée (il y en a qui essayent !), voir de déclarer une portée qui ne serait pas née chez eux...
Pour établir un pedigree probant, l'idée est de s'assurer au mieux que les chiots sont bien issus des parents déclarés. Tant que maintenant, on ne peut être à peu près sûr que de la mère. Avec le test ADN, pour quelques dizaines d'euros de plus, on est sûr des deux parents... Il restera juste à s'assurer que le prélèvement fait en vue du test ADN corresponde bien au numéro de la micropuce implantée. Et pour cela, la présence d'un contrôleur sera toujours nécessaire (même si son rôle se limitera à celui de témoin), ce qui laisse à l'éleveur le choix du vétérinaire pour effectuer ce qui relève de l'acte médical.