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Euhhh, la métrite, c'est surtout après une mise bas, ou avec la pilule. Peut-être aussi les chaleurs à répétition(je n'ai pas de certitude là-dessus).

En tous cas, jamais de métrite avec la stérilisation. Ni métrite, ni cancer des mamelles qui sont des pathologies très fréquentes chez les chattes entières (surtout sous pilule).
Le stérilisation les protège vraiment bien contre ça.

Franchement là, change de véto !

MagguyBolle a écrit :Euhhh, la métrite, c'est surtout après une mise bas, ou avec la pilule. Peut-être aussi les chaleurs à répétition(je n'ai pas de certitude là-dessus).!

si si , cela provoque des métrites

alors là : zéro pour le véto !!!!
C'est une idiotie complète de déconseiller la stérilisation : il ne sait pas opérer ou quoi ?
Une femelle, tant qu''elle n'est pas prise par un ma^le va continuer à avoir des chaleurs : c'est variable d'une femelle à l'autre mais attends toi dès janvier ( parcequ'en appartement, il n'y a pas vraiment d'arrêt des chaleurs en hiver) à ce qu'elle recommence tous les 15 jours : elle va maigrir, avoir le poil terne, être fatiguée et risquer une inflammation.
Donc, qu'elle sorte ou pas, change de véto et fais la stériliser.
Elle vivra mieux et plus longtemps...

Pourquoi une chatte n'ayant pas d'activité sexuelle risquerait-elle une métrite plus qu'une chatte non stérilisée???

Qui dit "métrite" dit infection de l'endomètre (la membrane interne de l'utérus) par un microbe. Ce microbe n'arrive pas de n'importe où, il est en général apporté au cours d'une saillie par un mâle pas très propre... berk!!!!

En dehors de cela, la flore microbienne du vagin (qui peut être modifiée par la stérilisation, c'est vrai!) constitue une barrière très efficace aux contaminations de l'endomètre.

Je trouve donc que ton véto a de drôles d'arguments...

marie1 a écrit :

MagguyBolle a écrit :Euhhh, la métrite, c'est surtout après une mise bas, ou avec la pilule. Peut-être aussi les chaleurs à répétition(je n'ai pas de certitude là-dessus).!

si si , cela provoque des métrites

Oui, bien sûr ! Le climat hormonal joue sur la flore microbienne vaginale et finit par la fragiliser, ouvrant la porte aux intrus.